Conte provençal avec la Maison Brémond 1830

Il y a exactement 54 semaines, je suis allée déambuler à Aix-en-Provence, la ville du Roy René, à travers un conte provençal avec la maison Brémond 1830. Cela commence à dater mais je m’en souviens comme si c’était hier, tant ce que j’y ai vécu était une parenthèse enchantée.

J’ai mis du temps à trier mes photos car forcement j’en ai pris beaucoup trop. Mettez-moi au milieu de vieilles bâtisses avec des volets en bois patinés par le temps et je ne m’arrête plus …

Mais c’est maintenant chose faite, et je suis fin prête à vous livrer par le menu détail (ou presque) ce que j’ai vu et appris au cours de ce voyage de presse au format inédit.

J’ai coupé le conte provençal en 2 parties, chacune divisée par le nombre de sites visités.
Jour 1 : Aix-en-Provence, Forcalquier, Volx
Jour 2 : Forcalquier, Banon, Saint-Saturnin-lès-Apt, Roussillon

Mais avant d’entamer ce récit, je vais commencer par quelques mots sur Maison Brémond 1830 car vous ne connaissez peut-être pas (encore) cette enseigne.

Qu’est-ce que Maison Brémond 1830 ?

L’épicerie fine Maison Brémond s’installe en 1830 à Aix en Provence. Fondée par la famille Brémond, épicier et confiseur, elle s’installe au 19ème siècle sur le cours Mirabeau avant de prendre place rue d’Italie en 1986, suite à un incendie.

Célèbre dans toute la Provence pour ses confiseries et ses fameux calissons à l’amande et melon confit, elle a été reprise en 2015 par Olivier Baussan. Il est le fondateur de l’Occitane en Provence (les cosmétiques), d’Oliviers &Co (épicerie fine) et de l’Ecomusée de l’Olivier. Une nouvelle histoire s’écrit alors pour Maison Brémond 1830, celle d’une épicerie fine engagée dans la valorisation de savoir-faire provençaux et méditerranéens.

Maison Brémond 1830

En effet Olivier Baussan est impliqué dans des associations pour la sauvegarde du patrimoine végétal, pour la relance d’une économie rurale respectueuse d’une terre vivante, le développement durable, le bien-être animal, la biodiversité et l’agroforesterie.

Ainsi Maison Brémond 1830 devient partenaire de l’association Act For Planet  mais aussi de la Ligue de Protection des Oiseaux ( LPO) de la région Sud. L’entreprise est également chef de fil du syndicat France Pistache et soutient le fond de Sauvegarde de la Lavande en Provence.

Tout comme François Doucet, confiseur en Provence, et ses champs d’amandiers à Oraison, la relance d’une agriculture locale et durable est au coeur de leur préoccupation. Et ce n’est pas du greenwashing. C’est-à-dire que ce n’est pas une façade écolo juste pour faire bien dans la société de consommation, cet amour de la Provence est vraiment ancré dans leur ADN.

J’ai passé 2 jours à découvrir, au gré des différents sites de production, les processus de fabrication des produits des différentes gammes, le savoir-faire de la Maison Brémond 1830 et son implication dans ces différentes associations.

Vous verrez plus loin, Maison Brémond 1830 n’est pas une grande entreprise en terme de nombre d’employés. Les productions sont faites de façon artisanales et en petites quantités.

Maintenant le récit de ce conte provençal peut commencer.

Conte provençal avec la Maison Brémond 1830

Cette déambulation a été menée par la charmante Elodie Elodie’s Bakery, photographe et conteuse hors pair, accompagnée d’Alexis, président de Act for Planet, et de Laetitia, directrice marketing chez Maison Brémond 1830. Nous étions 4 chanceuses à profiter de cette balade multisensorielle de 2 jours, Julie LYK Studio, Estelle Le Lab’ By Estelle, Valérie Woods photo studio et moi-même. Toutes les 4 avons des univers différents mais avec comme point commun, le bien manger.

Parcourir les paysages provençaux et s’imprégner de l’essence de chaque site remarquable : champs de lavande, champs d’oliviers, vignes… tel était le programme de ce conte.

Jour 1

  • Aix-en-Provence

Nous nous sommes retrouvés en début d’après-midi au coeur d’Aix-en-Provence, devant la fontaine de la rotonde. De nombreuses fontaines furent croisées au cours de notre déambulation vers l’illustre confiserie Maison Brémond 1830. Saviez-vous qu’il y a plus de 130 fontaines dans la ville d’Aix-en-Provence ?

En Provence, à la fin du mois de juin, je ne vous cache pas que les températures sont torrides. Aussi le refuge frais de la boutique Maison Brémond 1830 a été salvateur. Hormis ce détail appréciable, la visite de la confiserie vaut vraiment le coup.

Elle est superbement agencée et franchement, on ne sait où donner de la tête entre les fameuses boites de calissons, les paniers de biscuits et les fruits confits aussi colorés que gourmands.

Pour ce premier jour, nous avons simplement dégusté quelques gourmandises. Nous verrons le lendemain leur lieu de fabrication.

Avant de poser nos valises à notre hôtel, nous nous sommes rendus à l’exposition Raoul Dufy “L’Ivresse de la couleur” à Hôtel de Caumont, 3 Rue Joseph Cabassol. Ce fut l’occasion de découvrir la palette provençale du peintre normand.  Natif du Havre, Raoul Dufy arpente les terres de Cézanne et peint la Provence à travers des paysages côtiers, fêtes nautiques, baigneuses, bateaux… 

Intéressant et coloré, on s’est mis dans l’ambiance du Sud !

Je ne vous mets pas toutes les photos prises avec mon portable ici. Vous pouvez les voir, ainsi que des vidéos, dans la “story à la une – Maison Brémond 1830” de mon compte Instagram. C’est le reportage en live que j’ai fait l’année dernière.

  • Forcalquier

Puis direction Forcalquier, petite ville du Lubéron dans les Alpes de Hautes-Provence où se trouve niché l’Hôtel Charembeau.

L’hôtel Charembeau est un charmant mas provençal dont les chambres se disséminent dans un vaste domaine de verdure. C’est un environnement très apaisant où on se sent tout de suite bien.

Je n’ai pas eu beaucoup de temps aussi je n’ai pris que des photos de ma chambre à mon arrivée. Je n’ai pu faire l’extérieur qu’avec mon portable juste avant de partir. Aussi je vous invite à vous rendre sur mon compte Instagram si vous voulez vous rendre compte de la quiétude du lieu (avec le chant des oiseaux au réveil).

Vous voyez à gauche, les petits cadeaux de bienvenu offert par Maison Brémond 1830 qui attendaient chacune d’entre nous. Les calissons ont été mangés, mes mains adoucies, la bougie consumée et la boite à savon vintage accompagne désormais tous mes voyages.

Une fois rafraichie, nous reprenons la route à travers les paysages provençaux de lavande et d’olivier en direction de Volx pour visiter l’Écomusée l’Olivier et se restaurer au Petit Ribier, situé juste à côté.

  • Volx

Situé dans le Parc Naturel Régional du Luberon, l’Ecomusée l’Olivier est un lieu dédié à la culture vivante de l’olivier. Il est abrité dans un bâtiment qui servait de four à chaux au début du 20ème siècle. Il est devenu propriété de Maison Brémond 1830 en 2015. L’écomusée propose des visites gratuites, interactives et ludiques.

Ecomusée L’Olivier, 1355 ancienne Route de Forcalquier, les fours à chaux, 04130 Volx

L’écomusée raconte la culture des oliviers et la fabrication de l’huile d’olive à travers d’authentiques objets retrouvés et restaurés, parfois insolites.

Biologie et culture de l’olivier, mythologie, savons à l’huile d’olive, lampes à huile, fabrication de l’huile d’olive, chaque étape de la visite est une invitation à voyager dans le bassin méditerranéen.

Olivier Baussan a glané pendant de nombreuses années différents objets ayant trait à l’olivier et a installé sa collection dans l’écomusée. On peut y voir des amphores, des outils de culture de l’olivier ou de presse, de vieilles machines, différentes bouteilles et flacons d’huile d’olive (vintage, j’adore!) et l’évolution du savon de Marseille à travers les âges.

A l’étage, de très belles photographies s’exposent.

Juste à côté de l’écomusée se trouve aussi une boutique-épicerie où l’on retrouve bien rangés sur des étagères en bois d’apothicaire, les produits de Maison Brémond 1830 tels que des huiles, des balsamiques parfumées, des pâtes à tartiner sucrées ou salées, des biscuits de Forcalquier. On y trouve aussi des produits très locaux comme du rhum provençal vieilli en fût de Pastis, mais oui !

Et il y a le bistro Le Petit Ribier.

Le Petit Ribier est un petit restaurant attenant à l’écomusée. Fanfy et Véro y propose une cuisine bistro de produits frais et locaux. Lieu est très sympa. C’est convivial et c’est très très bon !

Le saviez-vous ? Le petit ribier est le nom d’une variété d’olive originaire du Var.

On y mange sur la terrasse en extérieur par temps sec, et s’il fait humide on peut s’installer à l’intérieur. La déco est faite de récup et de produits chinés, tout comme la vaisselle. Forcement, cela me parle !

La carte à l’ardoise est courte et régulièrement renouvelée au gré des saisons et des arrivages. Les huiles d’olive de Maison Brémond 1830 y ont la part belle et c’est un vrai délice. Essayez la fruitée noire sur un morceau de pain, vous verrez !

Nous avons diné et échangé avec Olivier Baussun tout en partageant les passions respectives de chacun. A ce moment-là, nous avons eu l’avant-première d’un nouveau projet : une caramelerie. Des bonbons caramels à l’huile d’olive qui sont maintenant commercialisés. J’ai pu goûter ceux à la fleur de sel de Camargue, c’est une petite merveille de douceur sucrée mais avec juste ce qu’il faut pour ne pas saturer le palais.

Ce soir- là, Le Petit Ribier avait au menu du Calamar, rouget et chorizo servi avec du riz et en dessert un Financier pistache, chantilly fleur d’oranger, abricots rôtis. Les assiettes sont simples et hyper qualitatives.

Le Petit Ribier, l’écomusée et la boutique Maison Brémond 1830, c’est une pierre trois coups au même endroit. Je vous recommande vivement de vous y arrêter si vous passez dans le Lubéron.

Jour 2

Le lendemain, nous sommes partis de bon matin visiter la biscuiterie de Forcalquier.

  • Forcalquier

La biscuiterie est située dans un ancien bâtiment industriel du XIXe siècle. Tous les biscuits Maison Brémond 1830 proviennent de cette petite biscuiterie artisanale.

Biscuiterie de Forcalquier, 28 Av. Saint-Promasse, 04300 Forcalquier

On entre dans la biscuiterie par la boutique où sont vendus tous les biscuits, soit en vrac dans de grandes bonbonnières, soit en sachets kraft.

Rien que ça, c’est beau et en plus ça embaume. Tous les sens sont effervescence, croyez-moi.

Le meuble central est de toute beauté, les étagères bien garnies. On se laisse guider par le parfum de ces délicieux biscuits provençaux et on salive devant les navettes de Provence, les croquants aux amandes, les macarons aux amandes et aux fruits, les caladons (spécialité nîmoise au miel et amandes) etc.

Sur le côté, une baie vitrée permet de voir les biscuitiers travailler. Ils ne sont pas nombreux, 5 en tout.

La biscuiterie de Forcalquier produit ses propres biscuits et fournit aussi Maison Brémond 1830. Ils sont tous préparés à partir de farines artisanales issues de l’agriculture biologique provenant du moulin voisin.

Les autres matières premières proviennent également de producteurs artisanaux, comme les amandes du plateau de Valensole ou le beurre de Normandie AOP.

C’est aussi parce que les biscuits utilisent beaucoup d’amandes et de pistaches, que Maison Brémond 1830 accordent beaucoup d’importance à la relance et au développement d’une agriculture locale de ces fruits à coque.

Ces gourmandises provençales sont toutes élaborées sans conservateurs, ni arômes artificiels. Le parfum des fruits provient de vrais fruits ajoutés.

Une fois cuits, les biscuits sont mis en sachet manuellement. C’est traditionnel et artisanal du début à la fin !

Ci-dessous la mise en sachet de canistrelli aux olives, la version salée des célèbres biscuits corses.

J’ai été impressionnée par la rapidité d’exécution de ces gestes. Mais malgré tout, l’équipe se compte sur les doigts d’une main et c’est elle qui produit chaque jour tous ces biscuits artisanaux provençaux vendus à l’international par la biscuiterie de Forcalquier et par Maison Brémond 1830.

La biscuiterie se visite et des ateliers de cuisine y sont aussi organisés, si cela vous tente. Avec les copines nous y avons fait des macarons aux amandes.

  • Banon

Après la biscuiterie, nous nous dirigeons vers Banon, un autre village perdu au milieu des champs de lavande pour découvrir la confiserie Leblanc.

C’est ce paysage qui a été peint par l’épouse de Olivier Baussun et qui illustre certains packagings de la Confiserie Leblanc et de Maison Brémond 1830.

Le village de Banon

La Confiserie Chocolaterie Leblanc, reprise en 2016 par Olivier Baussun, est installée depuis décembre 2018 dans les anciens bâtiments de stockage de la célèbre librairie du Bleuet (une des plus grandes de France dans un petit village de Haute-Provence) au pied du village de Banon.

Dans la boutique de vente directe, on trouve des pâtes à tartiner bio, fruits et fruits secs enrobés de chocolat, des pâtes de fruits, les fameux calissons ou des amandes apéritives au fameux fromage de chèvre de Banon. Il y a eu un gros craquage sur la purée de pistaches et la purée de noisettes !

Confiserie Leblanc , ZAE le puy, 04150 Banon 

Les ateliers de fabrication et la boutique sont installés dans un bâtiment en bois éco-construit, aux normes HQE (Haute Qualité Environnementale: construction en bois, panneaux solaires, haute isolation, toit végétalisé, etc…). On peut voir la fabrication des produits depuis la boutique par une vitre donnant sur l’atelier.

Nous y sommes entrés en tenue de cosmonaute et nous avons pu voir de plus près la production de quelques uns de ces beaux produits, comme les pâtes de fruits, l’enrobage d’amandes, la torréfaction de pistaches et de noix de cajou ou la mise en mini pots pour le futur calendrier de l’Avent Maison Brémond 1830.

Les amandes apéritives enrobées de fromage de chèvre de Banon ou d’épices diverses

La visite de la confiserie fut très intéressante (et gourmande) mais je dois dire que ce qui m’a le plus fasciné est ce qu’il y avait à l’extérieur. C’est sans doute mon passé de scientifique qui ressort!

Vous avez ci-dessous un exemple d’agroforesterie soutenu par Act for Planet et Maison Brémond 1830.

Sur le devant, un plant de pistachier porté par un porte-greffe d’origine australienne. Il a été sélectionné pour son acclimatation aux terres arides, ainsi il n’aura pas besoin d’arrosage particulier.

En grandissant, l’arbre va déployer ses racines permettant à la terre de drainer les eaux de pluie. Il va aussi faire de l’ombre, ce qui va faire baisser la température au sol et arranger le développement des rangées de lavande.

Sont alternés des pistachiers mâles et des pistachiers femelles plantés dans le sens du vent. Ainsi les fleurs mâles vont polliniser les fleurs femelles sous le vent.

C’est beau sur le papier et dans les principes, je suis maintenant très excitée à l’idée de voir l’évolution de ces plants. C’est encore expérimental. L’idée serait bien sûr que d’ici quelques années, il y ait des arbres qui produisent des pistaches de Provence. Pour en savoir plus c’est ICI.

  • Saint-Saturnin-lès-Apt

Saint-Saturnin-lès-Apt est un village typiquement provençal.

Pour ce que j’ai pu en voir, il abrite de très belles maisons avec des fenêtres, des porches et des portes finement ouvragés comme je le aime. J’aurais aimé m’y attarder mais nous nous sommes arrêtés que pour y déjeuner. Qu’à cela ne tienne, je reviendrai prendre le temps de le visiter (appareil photo en main, évidemment).

Avec la team Maison Brémond 1830, nous avons déjeuné au Saint-Hubert, une authentique auberge de village qui a une vue de dingue sur le Lubéron.

Les plats sont simples et savoureux avec du bio et du local. Le gaspacho bien frais a fait du bien et la kefta était bien savoureuse. Pour une fois, il n’y a pas eu de dessert car nos petits estomacs étaient déjà bien remplis.

Vue depuis le restaurant Saint-Hubert, 1 Pl. de la Fraternité, 84490 Saint-Saturnin-lès-Apt

Nous continuons de parcourir les paysages provençaux et nous arrivons ainsi à Roussillon.

  • Roussillon

Roussillon est réputé être un des plus beaux villages de France et je comprends bien pourquoi il l’est. C’est un village atypique avec ses façades couleur ocre car c’est là que se trouve le plus grand gisement d’ocre du monde.

Il y a la route des ocres au bout du village avec un sentier de randonnée. Et il y a ces maisons et ses ruelles avec toute l’atmosphère d’un village provençal. Et puis il y a le moulin à huile historique.

Visite du moulin à huile

Le moulin historique est installé dans le village de Roussillon. Sa visite est gratuite et très instructive.

21 Rue Richard Casteau, 84220 Roussillon

Construit à la fin du 19ème siècle, ce moulin pressait les olives du village. Abandonné dans les années 60, il a été restauré par Maison Brémond 1830 pour qu’il puisse témoigner du savoir-faire et des traditions des oléiculteurs provençaux.

On y voit le matériel utilisé à l’époque et même la roue du moulin qui peut encore être mise en service.

Juste au-dessus du moulin est installée une boutique Maison Brémond 1830.

Découverte et initiation aux huiles d’olive Maison Brémond 1830

Elle est agencée dans l’esprit de la maison avec de belles étagères en bois et surtout le fameux lustre, signature de Maison Brémond 1830. Je pense que l’on peut trouver dans cette boutique quasiment toutes les références de l’épicerie fine Maison Brémond 1830.

Dans l’arrière-boutique, on peut déguster différentes huiles d’olive, de la plus douce à la plus typée. Mes préférées ont été la fruitée noire au goût de tapenade et l’ardente vierge extra.

Je suis aussi amatrice du contenu que du contenant de ces huiles d’olive. Vous pouvez être sûr que je ne jetterai pas ces bidons Maison Brémond 1830 lorsqu’ils seront vides !

Cet itinéraire entre les différentes manufactures engagées de Maison Brémond 1830 est aussi à retrouver sur le site de Terre de Provence.

Nous arrivons au bout de ce récit conté. J’espère qu’il vous aura permis, comme moi l’année dernière, de vous imprégner autant de l’esprit provençal que de l’univers Maison Brémond 1830. C’est définitivement une marque que j’apprécie encore plus après ce voyage.

“La vie de l’homme est une chasse au bonheur. Parmi ces bonheurs, l’exercice de la gourmandise est l’un des plus importants. Un pays vaut surtout par les joies qu’il procure à ses habitants et à ceux qui le visitent. La gastronomie, c’est-à-dire l’art qui satisfait la gourmandise, représente un pays au même titre que les autres arts. La cuisine fait connaître le paysage. Le paysage sert à comprendre la cuisine”
Jean Giono

* Voyage de presse non rémunéré où j’ai été invitée. Cet article a été écrit pour le plaisir de partager les connaissances que j’ai acquises et les photographies que j’ai prises de cette belle Provence.

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